Il faut encore du temps, pour décrypter toutes les zones d’ombre du meurtre à bout portant d’El Vellouja, qui a conduit un policier en fonction à mettre fin à la vie de son ex épouse et la mère de son enfant.
Deux autres agents de la sécurité auraient téléphoné à leur ami aux mains entachées de sang, pour le renseigner à propos de son ex femme, qui selon leurs appels téléphoniques, l’ont trouvée chez sa copine « Koussi », dans une attitude indigne.
Pris d’une crise de nerf, le policier qui aurait menacé la mère de son enfant de fréquenter son amie à El Vellouja, se rendit sur les lieux de la choquante scène.
Il aurait fait un carnage si son revolver portait davantage de munitions. En effet, gagné par une jalousie indescriptible, le policier censé avoir fait l’école de maîtrise de soi et de la retenue, a laissé son pistolet trahir ses sentiments de mari désespéré de ramener son ex femme sur le droit chemin.
Koussi, que les plaintes déposées par des religieux (Mosquée) n’ont pu déloger des lieux pour cause de pratiques proscrites et les autres proxénètes dont certains se sont évanouis dans leur élan de fuite, n’ont eu la vie sauve, que par pure miracle.
C’est en somme ces déductions que certains milieux proches de l’enquête tirent des premiers éléments de réponse sur ce crime passionnel.
