La station éolienne de 100MW de Boulenouar financée par le FADES présentée hier nuit en séance plénière du Parlement à la TVM gagnera d’être valorisée plutôt dans le dessalement de la mer pour réduire de 50% les coût de celui-ci irriguer sur fonds propres de l’Etat d’un seul tenant 20.000 ha de palmeraies modernes de pointes techniques et technologiques objet de mes lettres précédentes ( lettres qui proposent une autre option de sauvetage de l’éducation) productrices dans le rectangle Boulenouar- Chami- Atar- Zouéate, devenu récemment du fait du réchauffement de la terre d’une grande aptitude culturale du Palmier.
Projet porteur au minimum d’un revenu de 40 milliards d’UM/an (nouvelle parité) et de 40.000 emplois nouveaux de jeunes est nettement plus intéressante que l’option parlementaire ( lue par un Député de l’UPR ) d’exporter cette énergie au Mali et Sénégal.
Il revient à l’UPR dans le cadre de sa redynamisation annoncée de réorienter ses députés dans cette option de développement autocentré (au lieu de l’option d’exportation au Mali et Sénégal)
Il est facile de démontrer à l’UPR et au Parlement et aux futurs Commissions régionales des Wilayas du Nord que la réorientation politique de cette station éolienne créera des revenus durables et emplois des jeunes 100 fois supérieur aux recettes et emplois miniers actuels du pays.
Nouakchott le 24 Janvier 2018
Cheikhany Ould Sidina
Maire de Maaden