L’Association des Femmes Chefs de Familles (AFCF) a enregistré un nouveau cas de viol, commis sur une écolière mineure, née en 2008, par son enseignant de français, pendant la récréation de midi.
Le maître a profité de la sortie des écoliers pour isoler l’enfant et en abuser, indique l’association, très active dans la défense des droits de l’homme, notamment des violences contre les femmes.
La direction de l’établissement a catégoriquement nié le cas de viol, afin de préserver la renommée de l’école, a confié la mère de la victime, laquelle, a fait des examens à l’hôpital de la mère et de l’enfant, en perspective de l’établissement d’un dossier sur ce délit.
Une recrudescence des viols à Nouakchott a été constatée au cours des ces dernières années, conduisant généralement à des fins douloureuses dont des meurtres commis par les criminels afin de rendre complexe toute poursuite policière.