Liberté de presse, liberté d’expression : fondements de la démocratie dirons-nous. C’est d’usage.

Trop de liberté tue la liberté, pourraient répliquer aussi naturellement ceux qui y voient une source de désordre, en particulier quand elles ne sont pas bien encadrées et préservées par ceux-là mêmes qui les revendiquent et en usent ; si cette liberté d’expression profite plus à ceux qui n’y croient pas et qui veulent la détruire par leur usage abusif et destructeur.

Jusqu’où peut aller la liberté d’expression et de presse ici ? Et quelles sont les limites qui font qu’elle ne soit pas synonyme d’anarchie, et qu’elle n’aboutisse pas au contraire de son objectif, c’est-à-dire le discrédit de toute la presse et de toute information qu’elle véhicule ?

En ce 3 mai journée mondiale de la presse, triste est de constater que ce qui en tient lieu chez-nous, sans tomber dans la généralisation injuste et injustifiée, est totalement discrédité.

Nous disons tout et son contraire, en un seul paragraphe tapé à la hâte sur des pages web parfois anonymes, et qui tiennent de plus en plus lieu et place de presse.

Aucun des principes fondamentaux qui permettent de garantir l’intégrité et la sacralité de l’information n’est respecté, ni dans la forme ni dans le fond.

Constat amer devant des sources d’information qui n’en sont plus unes, tellement celles qui tentent de garder un tant soit peu de respectabilité sont submergées par la marée qui charrie la médiocrité, l’intolérance et l’immoralité sous toutes leurs formes.

http://www.rapideinfo.biz/sos-sauvons-nos-libertes-par-hindou-mint-ainina/