Communiqué

jeu, 08/18/2022 - 15:18
Il y a deux jours, nous avons lu, nous la Banque Mauritanienne d’ Investissement  un article publié sur le site web du CRIDEM, signé par le journaliste "Moussa Samba Sy" sur la richesse de l’ancien Président et à la fin de l’article intitulé "Pillage foncier organisé". L’auteur de l’article a délibérément impliqué notre banque "nom et image" et a remis en question la composition de ses actionnaires faisant allusion à un prétendu  partenariat entre l’ancien président et la banque.
Étant donné que cette partie de l’article contient de fausses informations et des contenus malveillants sans rapport avec la vérité et visant à porter préjudice à la banque et au système bancaire en général, dans la mesure où le secteur bancaire  est fondé sur les principes de transparence financière et de crédit; étant donné qu’ils constituent les éléments attrayants (pour les banques extérieures qui ouvrent des lignes de crédit et pour les déposants locaux)
Malgré la gravité et la malice des accusations portées contre la banque par l’auteur de l’article, il n’a pas pris la peine de s’informer auprés de la banque, ou s’enquérir  sur la réalité des actionnaires à travers les services du registre commercial auprès du tribunal de commerce de Nouakchott ou de la banque centrale comme l’exigent les règles de la profession journalistique.
 
Par conséquent, nous considérons la diffamation contre notre banque de la part de ce journaliste comme étant un mensonge flagrant, un acte malveillant inventé de toutes pièces , voire un service gratuit offert aux concurrents, un préjudice à nos intérêts et au système bancaire en général, ainsi qu’un manque de respect pour les règles et l’éthique de la presse.
 
Face à cette situation, sous l’état de vérité et de droit et de manière civilisée, la banque s’est vu obligée de recourir à la justice pour défendre son image en  plaidant non coupable de fausses accusations dont elle a été l’objet . Par respect de liberté et du droit de l’autre, nous permettons au journaliste de présenter ses preuves quant à ce qu’il prétend ; bien que nous soyons certains qu’il ne peut pas prouver de telles allégations. La vérité est unique : Tout ce qui a été avancé n’est que contre vérité et mensonge délibéré portant préjudice à la BMI et un service rendu à ceux qui ont intérêt à la discréditer.
 
 
Dans sa première réponse au contenu de notre plainte, au lieu de confronter la banque avec des preuves tangibles , le journaliste avait préféré l’"application de la politique de l’autruche".
Au lieu de présenter sa réplique sur la teneur de notre plainte en fournissant la preuve de la véracité de son article précédent, nous le trouvons en train de s’en prendre au Président de la banque en profilant des propos outrageants ; toutefois cela ne fera qu’accroître la détermination de la Banque à poursuivre sa plainte jusqu’à ce que la vérité éclate lorsque le pouvoir judiciaire prononcera son verdict.
 
 
En conclusion, nous réitérons notre respect intangible pour la liberté de la presse et nos portes sont ouvertes à tous les professionnels qui veulent donner des informations réelles sur la banque. Nous considérons que la publication de ces mensonges nuit  à l’image de la presse en profitant abusivement du  climat de liberté  qui existe dans le pays pour s’attaquer à  des institutions et des individus sans preuves.

SMS ATLASINFO