Droit de réponse : « Vincent Dicko (Hanoune) mis en examen et jugé à paris pour diffamation suite à une plainte de Abdoulaye Diagana et Ould Jeilany »

jeu, 06/29/2017 - 00:29

J’ai lu dans la presse, dans les réseaux sociaux  également cette propagande de M.  Abdoulaye Diagana et Mohamed Abba Ould Jeilany,  qui disent : j’ai été  « mis en examen et jugé »  voire même condamné avant même le véridique.  Mes détracteurs ont pondu leurs  idées folles de ma peur à se présenter lors de mon procès dont je suppose avoir été jugé par « défaut ou continence » ?

D’un, je n’ai pas reçu une convocation donc je ne pouvais savoir la date d’un quelconque jugement. S’ils ont la preuve que j’ai reçu une convocation sans avoir répondu devant un juge moi-même ou par un avocat, qu’ils la mettent en public.

De deux, ce n’est pas une mise en examen dont il est question, non, mais d’un jugement qui ne sera jamais définitif. J’avais déjà répondu à la convocation de la mise en examen datant  de 2015, je peux vous sortir la preuve  de leur  premier mensonge du continu de leur publication. En plus, la plainte en question date de 2014 lorsque Biram, Brahim Bilal et Djiby Sow croupissaient dans la prison.

 

Je cite : « Pour ce qui concerne les prétendues actions contre IRA, Abdoulaye Diagana et Mohamed Abba Ould Jeilany ont produit des témoignages démontrant le caractère mensonger et grotesque des accusations :- Le président de la section IRA/France à l’époque des faits a expliqué à la barre pourquoi il s’est vu dans l’obligation de démissionner pour exprimer son indignation face aux accusations mensongères et aux calomnies dont était victime Abdoulaye Diagana. »

 

C’est archifaux, aucun président de IRA-France n’a démissionné pour soutenir la plainte de Abdoulaye Diagana ou quiconque. Je ne sais pas de quel président « démissionnaire » dont ils parlent ici mais je me rappelle en 2012, lorsque Biram Dah Abeid et l’ONG IRA-Mauritanie ont brulé les livres codes négriers, il y avait l’un des collaborateurs de Diagana qui l’aidait à animer des émissions de radio-web Kassayata avait quitté IRA par peur. Il se reconnaitra,  si c’est de cet homme qu’ils nous parlent, donc l’homme aurait versé un faux témoignage à la barre du tribunal correctionnel de Paris.  Quel dommage, mentir nuire, bon Dieu quels genres d’intellos sont-ils ?

 

Je cite : « -  Dans une interview accordée au journal mauritanien L’authentique en juin 2017, le président du mouvement IRA Biram Ould Dah a totalement blanchi Abdoulaye Diagana et Mohamed Abba Ould Jeilany de ces accusations mensongères. Biram Ould Dah y a également regretté les propos malheureux qu’il avait eus sur des cadres, Abdoulaye Diagana et Mohamed Abba Ould Jeilany, qu’il qualifie de valeureux »

Source : http://cridem.org/C_Info.php?article=699593

 

Il fallait qu’ils nous rappellent comment, sont-ils arrivés aux soi-disant  « regrets » de Biram Dah Abeid. M. Diagana avait un livre du « coran » dans son sac pour jurer dans un bar ou restaurant Parisien devant Biram, des témoins pour exprimer ses excuses envers le président IRA-Mauritanie. Diagana et  Jeilany auraient juré  qu’ils arrêtaient toutes les procédures et cinéma pour assurer Biram Dah Abeid. Lorsqu’on m’a contacté pour me le dire, j’avais répondu évidement qu’ils leur ont menti et j’ai des témoins.  Tout ce cirque pour en arriver là, c’est tellement maigre comme « combat » contre le pouvoir. En tout cas, j’assure aux lecteurs et lectrices, ces deux individus qui prétendent combattre le pouvoir ne cherchent pas à trainer les hommes du pouvoir devant les tribunaux mauritaniens à fortiori français, à chacun de juger en toute âme et conscience. Je conseille aux deux plaignants d’attendre la fin complète des procédures avant de crier victoire, Diko Hanoune est cuit et j’en passe……………  Les peulh disent : tout ce qui est dans l’assiette n’échappera pas à la fourchette ou la main

 

Diko Hanoune

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